La lutte contre la privatisation reste au centre de nos revendications
Jamais autant de désinformation, tant en interne qu’en externe, n’avait eu lieu !
Tous s’y sont mis, ministres, députés, président et directeur de la SNCF, directeurs de régions, directeurs d’établissement. Ils ont tenté de culpabiliser et de faire peur aux cheminots ; rien n’y a fait : les cheminots ont fait grève !
Si la dissolution de la filiale IDTGV et sa réintégration à la SNCF est un coup d’arrêt à la privatisation, alors il est possible de faire reculer direction et gouvernement, y compris sur les privatisations déjà effectuées.
Ne faut-il pas exiger que TOUTES les filialisations, privatisations, que TOUS les travaux donnés au privé retournent à la SNCF ?
Force Ouvrière a mis au centre de ses revendications le refus de la privatisation ; dans l’unité nous pouvons gagner. Pour cela, il faut réaliser l’unité la plus large ; à Force Ouvrière nous y sommes prêts.
C’est parce que le préavis était reconductible, parce que les cheminots se sont mobilisés, que direction et gouvernement ont eu peur que la grève s’installe ; ils ont donc lâché du lest :